Dulbi> Qu'est-ce que tu dois penser quand t'écoutes un morceau de Kaaris, qui fait se succéder en permanence une phase où il détruit ses adversaires à une phase sexuelle, tout en étant torse poil dans ses clips.
Cette "ambiguïté sexuelle" est déjà présente dans la culture française de l'insulte : les supporteurs de foot traitent leurs rivaux de pd tout en menaçant de les enculer. Même chose dans le battle rap français, l'adversaire est un pd que l'on menace de toutes sortes de sévices sexuels (alors que dans le battle québécois, si on traite aussi son adversaire de pd, on n'affirme pas simultanément qu'on l'encule, qu'on le fiste ou qu'il nous suce).
Et dans la culture ultra macho de la Guyane (où j'ai vécu), celui qui est homo, c'est celui qui se fait enculer, pas celui qui encule (désolé pour la vulgarité). Une croyance bien utile en prison, voire utile pour combattre la misère sexuelle dans laquelle baigne bien des "racailles" guyanaises, mais je spécule pour le deuxième point.
Cette "ambiguïté sexuelle" est déjà présente dans la culture française de l'insulte : les supporteurs de foot traitent leurs rivaux de pd tout en menaçant de les enculer. Même chose dans le battle rap français, l'adversaire est un pd que l'on menace de toutes sortes de sévices sexuels (alors que dans le battle québécois, si on traite aussi son adversaire de pd, on n'affirme pas simultanément qu'on l'encule, qu'on le fiste ou qu'il nous suce).
Et dans la culture ultra macho de la Guyane (où j'ai vécu), celui qui est homo, c'est celui qui se fait enculer, pas celui qui encule (désolé pour la vulgarité). Une croyance bien utile en prison, voire utile pour combattre la misère sexuelle dans laquelle baigne bien des "racailles" guyanaises, mais je spécule pour le deuxième point.