Pour un français, qui a sortit un livre avec un top 100 du rap indépendant US d'après 2000, ça semble assez contradictoire de penser que l'"effervescence de l'underground" a été tuée puisque c'est sur celle-ci que ton livre est basé ?
Parce que les 97 autres artistes dont tu parles, ou autres, auraient du avoir plus de succès ?
C'est pourtant formidable pour la plupart d'avoir sortit des cds et en plus d'avoir un public étranger comme celui que tu as créé à travers hiphopsection, par ex. Que Goofy vienne citer le Edan.
Le public qui a vraiment la possibilité, le temps ou le besoin d'écouter les artistes qui vont au-delà des standards définis le fait naturellement.
L'article de Fact Mag...Les journaleux qui écrivent ce genre d'article parlent pour eux-même ou leur petit monde au mieux, à mon avis. Ils se font leur propre histoire par rapport à leur vécu et connaissances et parce qu'ils ont un certain égo et que c'est diffusé sur un site web, ils se croient vraiment objectifs.
C'est lui-même qui était focalisé sur 9th Wonder & Cie...de la même façon qu'il se focalise maintenant sur la dizaine d'artistes des années 2000 qu'il cite pour affirmer que c'était 2000-2006 l'âge d'or du hh (et ça ne sent franchement pas les grosses connaissances)
En tant que "journaliste", il finit même par être un exemple même du phénomène qu'il décrit.
Par rapport aux artistes qu'il cite, j'irai même jusqu'à dire qu'on a ici le cas classique du gars fan de boom bap qui s'est replié sur le rap indé puis redécouvre le rap "mainstream" qu'il jugeait trop rapidement à l'époque.
Et qui n'imagine même pas qu'il a ptet encore 50 à 80% des meilleurs productions à découvrir, l'entre d'eux.
Le genre d'auditeur qui ne parle continuellement que de la partie émergée de l'iceberg, qui se renverse comme leurs goûts.
Une des seules phrases du papier qui va au delà d'une généralisation simpliste, c'est quand ça parle du côté régional du rap, qu'à l'époque ceux qui écouté Jay-Z n'étaient même pas forcément au courant qu'existaient un truc comme UGK.
Il tenait quelque chose de concret à développer, dommage...
Parce que les 97 autres artistes dont tu parles, ou autres, auraient du avoir plus de succès ?
C'est pourtant formidable pour la plupart d'avoir sortit des cds et en plus d'avoir un public étranger comme celui que tu as créé à travers hiphopsection, par ex. Que Goofy vienne citer le Edan.
Le public qui a vraiment la possibilité, le temps ou le besoin d'écouter les artistes qui vont au-delà des standards définis le fait naturellement.
L'article de Fact Mag...Les journaleux qui écrivent ce genre d'article parlent pour eux-même ou leur petit monde au mieux, à mon avis. Ils se font leur propre histoire par rapport à leur vécu et connaissances et parce qu'ils ont un certain égo et que c'est diffusé sur un site web, ils se croient vraiment objectifs.
C'est lui-même qui était focalisé sur 9th Wonder & Cie...de la même façon qu'il se focalise maintenant sur la dizaine d'artistes des années 2000 qu'il cite pour affirmer que c'était 2000-2006 l'âge d'or du hh (et ça ne sent franchement pas les grosses connaissances)
En tant que "journaliste", il finit même par être un exemple même du phénomène qu'il décrit.
Par rapport aux artistes qu'il cite, j'irai même jusqu'à dire qu'on a ici le cas classique du gars fan de boom bap qui s'est replié sur le rap indé puis redécouvre le rap "mainstream" qu'il jugeait trop rapidement à l'époque.
Et qui n'imagine même pas qu'il a ptet encore 50 à 80% des meilleurs productions à découvrir, l'entre d'eux.
Le genre d'auditeur qui ne parle continuellement que de la partie émergée de l'iceberg, qui se renverse comme leurs goûts.
Une des seules phrases du papier qui va au delà d'une généralisation simpliste, c'est quand ça parle du côté régional du rap, qu'à l'époque ceux qui écouté Jay-Z n'étaient même pas forcément au courant qu'existaient un truc comme UGK.
Il tenait quelque chose de concret à développer, dommage...