2014-04-18, 11:34:56
L'Armée des 12.
J'ai aussi eu une discussion intéressante hier sur le quatrième de couverture, mais on a trouvé un compromis.
La négo a été plus pénible que pour l'autre fois (ou il n'y en avait quasiment pas eu), pour plusieurs raisons : je suis plus passionné sur le sujet que sur celui du rap en général, j'avais de vrais points de vue à faire valoir ; j'ai écrit beaucoup trop de pages et ça a été un crève-coeur d'en supprimer ; j'ai été un peu à l'arrache, ayant peu relu certaines parties, qui méritaient d'être assouplies ; c'est plus un sujet de niche, plus difficile à vendre, donc l'éditeur voulait être sûr que ça puisse interpeler un public large, ce qui est légitime.
Le premier livre était davantage une commande, et le contenu avait été négocié un peu plus en amont. Ca avait donc été infiniment plus simple. Mais bon, au total, ils n'ont pas été trop chiants, ils n'ont par exemple rien redit sur mes a priori critiques, leurs commentaires étaient quasi exclusivement sur la forme. C'est sans doute plus moi qui ai été pénible.
J'ai aussi eu une discussion intéressante hier sur le quatrième de couverture, mais on a trouvé un compromis.
La négo a été plus pénible que pour l'autre fois (ou il n'y en avait quasiment pas eu), pour plusieurs raisons : je suis plus passionné sur le sujet que sur celui du rap en général, j'avais de vrais points de vue à faire valoir ; j'ai écrit beaucoup trop de pages et ça a été un crève-coeur d'en supprimer ; j'ai été un peu à l'arrache, ayant peu relu certaines parties, qui méritaient d'être assouplies ; c'est plus un sujet de niche, plus difficile à vendre, donc l'éditeur voulait être sûr que ça puisse interpeler un public large, ce qui est légitime.
Le premier livre était davantage une commande, et le contenu avait été négocié un peu plus en amont. Ca avait donc été infiniment plus simple. Mais bon, au total, ils n'ont pas été trop chiants, ils n'ont par exemple rien redit sur mes a priori critiques, leurs commentaires étaient quasi exclusivement sur la forme. C'est sans doute plus moi qui ai été pénible.