2015-03-05, 09:41:08
Pour être un peu plus précis, c'est effectivement apparu comme genre underground dans l'Angleterre rave au début des années 90, mais à l'état embryonnaire. La hype autour de la drum'n'bass - ou de la jungle, comme on l'appelait alors - c'est le coeur des années 90, disons 94-95, avec toute la vague ragga jungle, puis le premier album de Goldie.
Après, on a eu une rapide montée en puissance, autant mainstream que critique (avec les fans de jaaaaz qui s'excitent dessus), dont l'apothéose est la reconnaissance universelle du New Forms de Roni Size en 1997/1998. C'est aussi l'année où les auteurs des classiques du genre (Goldie, 4 Hero) reviennent avec des seconds albums censés décrocher le pactole, mais assez décevants. Et c'est celle des collaborations hip-hop dont tu parles (celles que tu cites, celles aussi entre 4 Hero et Butterfly, ou Ursula Rucker).
Et puis après, brutalement, plus rien. On est passé au UK garage, au two-step, au dubstep, au grime ou à je ne sais quoi. Les seuls disques où on entendra encore un peu de drum'n'bass, c'est ceux de rappeurs indé comme Zion I, Noah23/The Orphan, ou je ne sais quoi encore.
Après, on a eu une rapide montée en puissance, autant mainstream que critique (avec les fans de jaaaaz qui s'excitent dessus), dont l'apothéose est la reconnaissance universelle du New Forms de Roni Size en 1997/1998. C'est aussi l'année où les auteurs des classiques du genre (Goldie, 4 Hero) reviennent avec des seconds albums censés décrocher le pactole, mais assez décevants. Et c'est celle des collaborations hip-hop dont tu parles (celles que tu cites, celles aussi entre 4 Hero et Butterfly, ou Ursula Rucker).
Et puis après, brutalement, plus rien. On est passé au UK garage, au two-step, au dubstep, au grime ou à je ne sais quoi. Les seuls disques où on entendra encore un peu de drum'n'bass, c'est ceux de rappeurs indé comme Zion I, Noah23/The Orphan, ou je ne sais quoi encore.