Je n'avais pas prêté attention à Grey Crow mais, je confesse, On Sacred Ground m'avait bien plus. L'esprit country/folk/je-chante-avec-maman : j'étais dans l'empathie même si je reconnais les limites musicales et le côté guimauve du truc.
codotusylv a écrit :Il n'y a malheureusement qu'une seule place sous le soleil pour les anciens rappeurs indé blancs drogués, et Macklemore l'a prise