2021-02-06, 23:50:59
Je me sens assez peu concerné par les conclusions de l'article. Bien sur il y a dans mon top des albums que j'ai découvert ado mais de moins en moins en fait. C'est surtout à partir du moment où j'ai "dés-idéologisé" ce que j'écoutais que j'ai redécouvert des trucs sur lequel j'étais passé à côté et ça a pas mal bougé ma perception de ce que j'aime/j'aime pas.
L'intégration de plein d'autres styles de musique aussi.
Je suis assez peu nostalgique de mes années collèges.
C'est vrai que la période entre 2009-2015 a été hyper riche pour le rap, et pareil ça m'a remis dedans. D'ailleurs j'ai souvenir qu'ici même ça parlait plus de jazz ou de rock que de rap à un moment. Alors puberté tardive ou refus de vieillir? Je me souviens avoir essuyé quelques critiques du genre "t'as 30ans t'écoute encore du rap" lol
N'y aurait il pas aussi une periode de rejet de l'adolescence, puis une periode de réconciliation ? Bon j'ai eu beau revenir sur le rap du début des 00s j'ai toujours l'impression d'un gigantesque creux qualitatif donc il y a aussi peut-être une réalité objective sur ce parcours que d'autres ici semble partager.
L'intégration de plein d'autres styles de musique aussi.
Je suis assez peu nostalgique de mes années collèges.
C'est vrai que la période entre 2009-2015 a été hyper riche pour le rap, et pareil ça m'a remis dedans. D'ailleurs j'ai souvenir qu'ici même ça parlait plus de jazz ou de rock que de rap à un moment. Alors puberté tardive ou refus de vieillir? Je me souviens avoir essuyé quelques critiques du genre "t'as 30ans t'écoute encore du rap" lol
N'y aurait il pas aussi une periode de rejet de l'adolescence, puis une periode de réconciliation ? Bon j'ai eu beau revenir sur le rap du début des 00s j'ai toujours l'impression d'un gigantesque creux qualitatif donc il y a aussi peut-être une réalité objective sur ce parcours que d'autres ici semble partager.